Le chai unique au monde de Château La Fleur de Boüard permet d’extraire la plus belle expression de ce terroir de Lalande-de-Pomerol, grâce à un procédé révolutionnaire.
L’innovation inédite de cuves tronconiques inversées et suspendues permet de ne pas contraindre les baies et les jus à passer dans des pompes de remontage. La vendange, une fois triée, est montée jusqu’aux cuves par un système gravitaire et tous les transferts de vin se font par ascenseur, le premier de la rive droite.
Les vendanges parcellaires sont ensuite menées à la vinification cuve par cuve, permettant ensuite un assemblage fin et une maîtrise de l’évolution des vins en barriques. Ces innovations permettent de nombreux autres procédés d’excellence : chambre froide pour conserver et baisser la température de la vendange, le tri densimétrique de dernière génération, inertage des cuves.
La sur-isolation des chais ainsi qu’une température régulée à 14°C permettent de préserver les arômes de fruits et évitent les risques micro-biologiques. Un générateur d’azote est utilisé pour la désoxygénation des vins afin de limiter les doses de SO2 et d’éviter les phénomènes oxydatifs du vin.
La méthode d’élaboration repose sur un savoir-faire innovant et la rigueur d’une double approche technique et scientifique
Grâce à une technologie de pointe, la Fleur de Boüard a réussi son pari : extraire la quintessence de ce terroir et faire d’un héritage une nouvelle richesse.
Près de douze années de restructuration du vignoble ont été nécessaires pour transformer une vision intuitive en entreprise de renommée.
Le chai surprenant est le fruit de la collaboration féconde entre l’instinct et l’ambition de Hubert de Boüard et la vision esthétique de l’architecte Arnaud Boulain, qui a signé les chais du Château Angelus.
Les nouvelles installations qui allient transparence du verre à la noblesse du bois, incarnent cette démarche audacieuse, où la nature s’invite et où la qualité du travail devient remarquable.
Le bâtiment parfaitement intégré au paysage du domaine, renferme entre ses murs, 28 cuves tronconiques inversées, qui semblent flotter dans l’air et utilisent de façon ingénieuse le travail par gravité.